Bruxelles 13 mai
Une page sur dix des sites internet est contaminée par des logiciels malveillants, révèle une enquête du moteur de recherche Google, qui envisage de prévenir à l'avenir les utilisateurs d'ordinateurs du danger qu'ils courent.
"Le firewall est mort", affirme le spécialiste en sécurité de Google Niels Provos, dans l'édition de cette semaine du magazine britannique 'New Scientist'. Les criminels informatiques ont selon lui trouvé de nouvelles manières de diffuser des virus qui tentent de s'emparer des données échangées lors des paiements en ligne. Auparavant, les virus étaient diffusés par le biais d'attachements ou par des "vers" informatiques. Tout ordinateur est désormais protégé par un programme antivirus et par un pare-feu.
Maintenant, les personnes mal intentionnées ont trouvé d'autres façons de répandre des virus nuisibles, en utilisant de plus en plus des sites web "complètement innocents". Les employés de Google ont étudié 4,5 millions de pages sur internet générées par leur moteur de recherche. Ils en ont conclu que 450.000 d'entre elles représentaient un véritable danger pour les visiteurs. 700.000 autres ont été considérées comme "douteuses" car elles contenaient des éléments "malsains". Pour mieux protéger les internautes contre ces "malwares", Google souhaite à l'avenir placer un label à côté des sites potentiellement dangereux lors de l'affichage des résultats d'une recherche.
Une page sur dix des sites internet est contaminée par des logiciels malveillants, révèle une enquête du moteur de recherche Google, qui envisage de prévenir à l'avenir les utilisateurs d'ordinateurs du danger qu'ils courent.
"Le firewall est mort", affirme le spécialiste en sécurité de Google Niels Provos, dans l'édition de cette semaine du magazine britannique 'New Scientist'. Les criminels informatiques ont selon lui trouvé de nouvelles manières de diffuser des virus qui tentent de s'emparer des données échangées lors des paiements en ligne. Auparavant, les virus étaient diffusés par le biais d'attachements ou par des "vers" informatiques. Tout ordinateur est désormais protégé par un programme antivirus et par un pare-feu.
Maintenant, les personnes mal intentionnées ont trouvé d'autres façons de répandre des virus nuisibles, en utilisant de plus en plus des sites web "complètement innocents". Les employés de Google ont étudié 4,5 millions de pages sur internet générées par leur moteur de recherche. Ils en ont conclu que 450.000 d'entre elles représentaient un véritable danger pour les visiteurs. 700.000 autres ont été considérées comme "douteuses" car elles contenaient des éléments "malsains". Pour mieux protéger les internautes contre ces "malwares", Google souhaite à l'avenir placer un label à côté des sites potentiellement dangereux lors de l'affichage des résultats d'une recherche.
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