Washington, 7 mai
George W. Bush a gaffé devant la reine Elizabeth II d'Angleterre. Pourtant il a déployé tout l'apparat de l'Amérique républicaine pour accueillir la reine, mais a failli altérer l'événement le plus mondain de sa présidence d'un lapsus renvoyant à l'âge de la souveraine.
Lors d'une cérémonie en grandes pompes sur les pelouses de la Maison Blanche, Georges W. Bush a célébré la "relation particulière" entre les deux pays et leur combat côte-à-côte en Irak et en Afghanistan. C'est quand il a évoqué les rapports privilégiés entre la reine elle-même et les Etats-Unis que le ciel sans nuage a failli se couvrir.
Car voici sa déclaration, ou plutôt une de ses fameuses bévues : "Après tout, vous avez dîné avec dix présidents américains. Vous avez aidé notre pays à célébrer son bicentenaire en dix-sept-cent...En dix-neuf-cent-soixante-seize", s'est-il repris.
Se tournant vers la reine à son côté, M. Bush s'est empressé de mettre de son côté les rieurs qui se sont fait entendre parmi les 7.000 invités triés sur le volet.
La reine, qui a fêté ses 81 ans il y a deux semaines, n'a pas paru tenir rigueur à son hôte d'avoir failli la vieillir de deux siècles, et l'a remercié de ses "propos chaleureux".
Il s'agit de la première visite de la reine depuis 1991, à une époque où le Bureau ovale était occupé par un autre Bush, et de sa cinquième visite depuis 1957 et la présidence de Dwight Eisenhower.
George W. Bush a gaffé devant la reine Elizabeth II d'Angleterre. Pourtant il a déployé tout l'apparat de l'Amérique républicaine pour accueillir la reine, mais a failli altérer l'événement le plus mondain de sa présidence d'un lapsus renvoyant à l'âge de la souveraine.
Lors d'une cérémonie en grandes pompes sur les pelouses de la Maison Blanche, Georges W. Bush a célébré la "relation particulière" entre les deux pays et leur combat côte-à-côte en Irak et en Afghanistan. C'est quand il a évoqué les rapports privilégiés entre la reine elle-même et les Etats-Unis que le ciel sans nuage a failli se couvrir.
Car voici sa déclaration, ou plutôt une de ses fameuses bévues : "Après tout, vous avez dîné avec dix présidents américains. Vous avez aidé notre pays à célébrer son bicentenaire en dix-sept-cent...En dix-neuf-cent-soixante-seize", s'est-il repris.
Se tournant vers la reine à son côté, M. Bush s'est empressé de mettre de son côté les rieurs qui se sont fait entendre parmi les 7.000 invités triés sur le volet.
La reine, qui a fêté ses 81 ans il y a deux semaines, n'a pas paru tenir rigueur à son hôte d'avoir failli la vieillir de deux siècles, et l'a remercié de ses "propos chaleureux".
Il s'agit de la première visite de la reine depuis 1991, à une époque où le Bureau ovale était occupé par un autre Bush, et de sa cinquième visite depuis 1957 et la présidence de Dwight Eisenhower.
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