Bruxelles, 4 février
Près de deux automobilistes belges sur trois (65%) roulent avec des pneus sous-gonflés, selon une enquête réalisée par le fabricant de pneus Goodyear. Parmi les automobilistes interrogés, sept sur dix affirment ne jamais vérifier la pression de leurs pneus. La plupart d'entre eux estiment que c'est au garagiste de le faire.
Pas grave ? Bien au contrainre. A l’heure de l’écologie galopante ce sont des forêts entières qui disparaissent à cause du sous gonflage.
En voici la démonstration : 3,6 millions de voitures circulent donc en Belgique avec des pneus sous-gonflés. Cela représente une dépense annuelle supplémentaire de 500 millions d'euros.
Mais le sous-gonflage est surtout préjudiciable à l'environnement. Il augmente le rejet de CO2, une majoration qui, pour la seule Belgique, avoisine les 700 tonnes de CO2 par an. Il faudrait la croissance de 35.000 arbres pendant un an pour compenser ce surplus. Voilà les conclusions osées du fabricant de pneumatiques.
Le sous-gonflage coûte également cher à l'automobiliste. En effet, lorsque la pression d’un pneu est de 25% inférieure à la normale, la résistance au roulement augmente de 10%, ce qui provoque un accroissement de la consommation de carburant d'environ 2%.Sur la base d'un kilométrage annuel moyen de 25.000 km, un tel sous-gonflage augmentera facilement le budget carburant de 140 euros pour chaque belge.
Résultat : en gonflant correctement ses pneus un automobiliste ferait des économies et préserverait l’environnement.
Près de deux automobilistes belges sur trois (65%) roulent avec des pneus sous-gonflés, selon une enquête réalisée par le fabricant de pneus Goodyear. Parmi les automobilistes interrogés, sept sur dix affirment ne jamais vérifier la pression de leurs pneus. La plupart d'entre eux estiment que c'est au garagiste de le faire.
Pas grave ? Bien au contrainre. A l’heure de l’écologie galopante ce sont des forêts entières qui disparaissent à cause du sous gonflage.
En voici la démonstration : 3,6 millions de voitures circulent donc en Belgique avec des pneus sous-gonflés. Cela représente une dépense annuelle supplémentaire de 500 millions d'euros.
Mais le sous-gonflage est surtout préjudiciable à l'environnement. Il augmente le rejet de CO2, une majoration qui, pour la seule Belgique, avoisine les 700 tonnes de CO2 par an. Il faudrait la croissance de 35.000 arbres pendant un an pour compenser ce surplus. Voilà les conclusions osées du fabricant de pneumatiques.
Le sous-gonflage coûte également cher à l'automobiliste. En effet, lorsque la pression d’un pneu est de 25% inférieure à la normale, la résistance au roulement augmente de 10%, ce qui provoque un accroissement de la consommation de carburant d'environ 2%.Sur la base d'un kilométrage annuel moyen de 25.000 km, un tel sous-gonflage augmentera facilement le budget carburant de 140 euros pour chaque belge.
Résultat : en gonflant correctement ses pneus un automobiliste ferait des économies et préserverait l’environnement.
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