A la Saint-Valentin, aucun Japonais n'échappe au chocolat, cadeau obligé des amoureux. Mais cette année, la gent féminine, souvent obsédée par sa ligne, dispose d'une échappatoire aux calories: les massages au chocolat.
Tradition importée d'Occident, la Saint-Valentin est devenue au Japon un phénomène commercial béni des chocolatiers, qui réalisent à la mi-février le plus gros de leur chiffre d'affaires.
Outre les amoureux, les employées sont tenues d'offrir à leurs collègues masculins ce que les Japonais surnomment le "Giri choco": "le chocolat obligatoire".
Le Tokyo Prince Hotel, un des palaces de la capitale, propose cette année un "must" pour celles, fortunées, qui veulent se faire d'abord plaisir: un forfait de nuit incluant 75 minutes de massage chocolaté.
Certes, ces soins onéreux (50.000 yens, soit 317 euros, nuit comprise) sont réservées à une élite. Toutefois, de plus en plus de jeunes Japonaises aspirent à prendre soin d'elles et sont prêtes à dépenser leur argent pour se faire égoïstement plaisir le jour de Saint-Valentin.
Parmi les soins, les masques à base de pâte chocolatée adoucissent la peau et aident à se débarrasser du stress grâce à la présence de caféine et de polyphénols. Les clientes peuvent ensuite recouvrir leur corps de pâte d'amande et s'envelopper d'une couverture spéciale, qui favorise la transpiration, explique une masseuse : On élimine ainsi toxines et graisses.
Malheureusement toutes ces tentations sucrées risquent de susciter l'envie de manger du chocolat.
D’autres commerçants futés ont pensé à un autre moyen de résister au péché mignon: les bijoux de pacotille qui n'ont du chocolat que l'aspect et la couleur.
Colliers, bagues, tiares, décorations de téléphones portables, le chocolat est décliné sous toutes ses formes... en plastique.
Tradition importée d'Occident, la Saint-Valentin est devenue au Japon un phénomène commercial béni des chocolatiers, qui réalisent à la mi-février le plus gros de leur chiffre d'affaires.
Outre les amoureux, les employées sont tenues d'offrir à leurs collègues masculins ce que les Japonais surnomment le "Giri choco": "le chocolat obligatoire".
Le Tokyo Prince Hotel, un des palaces de la capitale, propose cette année un "must" pour celles, fortunées, qui veulent se faire d'abord plaisir: un forfait de nuit incluant 75 minutes de massage chocolaté.
Certes, ces soins onéreux (50.000 yens, soit 317 euros, nuit comprise) sont réservées à une élite. Toutefois, de plus en plus de jeunes Japonaises aspirent à prendre soin d'elles et sont prêtes à dépenser leur argent pour se faire égoïstement plaisir le jour de Saint-Valentin.
Parmi les soins, les masques à base de pâte chocolatée adoucissent la peau et aident à se débarrasser du stress grâce à la présence de caféine et de polyphénols. Les clientes peuvent ensuite recouvrir leur corps de pâte d'amande et s'envelopper d'une couverture spéciale, qui favorise la transpiration, explique une masseuse : On élimine ainsi toxines et graisses.
Malheureusement toutes ces tentations sucrées risquent de susciter l'envie de manger du chocolat.
D’autres commerçants futés ont pensé à un autre moyen de résister au péché mignon: les bijoux de pacotille qui n'ont du chocolat que l'aspect et la couleur.
Colliers, bagues, tiares, décorations de téléphones portables, le chocolat est décliné sous toutes ses formes... en plastique.
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