Londres, 30 avril
Il y avait le sordide musée du sexe d'Amsterdam et l’ennuyeux de New York. Dans le cœur de Londres, une nouvelle attraction vient d'ouvrir ses portes : Amora, l'Académie du sexe et des relations qui décline l'amour sous tous ses modes.
Derrière ses murs, l'Académie promet de faire sortir de leur coquille ses visiteurs les plus discrets et d'étonner les plus extravertis. Les curieux descendent un escalier, accompagnés de murmures suggestifs s'échappant des murs rouges, pour se voir offrir un cocktail aphrodisiaque à l'entrée. Amora privilégie les effets visuels et sonores, l'interactif, pour explorer les comportements sexuels. Ecrans tactiles, objets à manipuler - godemichés, imitations de vagins, fausses poitrines montrant comment détecter de possibles tumeurs -, écrans vidéos, audio-guide, modèles à taille humaine, animations par ordinateurs, expositions murales sous des éclairages évocateurs : la panoplie est riche. L'espace est divisé en sept zones, mêlant connaissances scientifiques et divertissements et couvrant tous les aspects des relations sexuelles, de l'art de la séduction aux techniques sexuelles, en passant par les zones érogènes, les fantasmes ou la santé sexuelle.
L’idée du concepteur du musée : créer un endroit où parler de sexe, mais d'une manière amusante, intéressante, moderne. L'amour est dorénavant présent dans un espace physique où il est accessible aux gens. On y trouve des thérapeutes du sexe que les gens peuvent voir et à qui ils peuvent poser des questions, des ateliers, des universitaires qui tiennent des débats. Dans la section Sexplorium, un jeune couple enlacé regarde un vidéo clip sur des accessoires sexuels. Dans la zone Fantasy and Fetish, deux jeunes femmes ricanent en s'exerçant sur un appareil qui enregistre la force des fessées qu'elles distribuent.
Le concept ne fait cependant pas taire tous les sceptiques et il a un coût pour les visiteurs : il en coûte 18 euros avant 17h00 et 22 euros jusqu'à minuit, sept jours par semaine. L'ouverture de centres identiques est envisagée à Paris, en Allemagne et aux Etats-Unis.
Il y avait le sordide musée du sexe d'Amsterdam et l’ennuyeux de New York. Dans le cœur de Londres, une nouvelle attraction vient d'ouvrir ses portes : Amora, l'Académie du sexe et des relations qui décline l'amour sous tous ses modes.
Derrière ses murs, l'Académie promet de faire sortir de leur coquille ses visiteurs les plus discrets et d'étonner les plus extravertis. Les curieux descendent un escalier, accompagnés de murmures suggestifs s'échappant des murs rouges, pour se voir offrir un cocktail aphrodisiaque à l'entrée. Amora privilégie les effets visuels et sonores, l'interactif, pour explorer les comportements sexuels. Ecrans tactiles, objets à manipuler - godemichés, imitations de vagins, fausses poitrines montrant comment détecter de possibles tumeurs -, écrans vidéos, audio-guide, modèles à taille humaine, animations par ordinateurs, expositions murales sous des éclairages évocateurs : la panoplie est riche. L'espace est divisé en sept zones, mêlant connaissances scientifiques et divertissements et couvrant tous les aspects des relations sexuelles, de l'art de la séduction aux techniques sexuelles, en passant par les zones érogènes, les fantasmes ou la santé sexuelle.
L’idée du concepteur du musée : créer un endroit où parler de sexe, mais d'une manière amusante, intéressante, moderne. L'amour est dorénavant présent dans un espace physique où il est accessible aux gens. On y trouve des thérapeutes du sexe que les gens peuvent voir et à qui ils peuvent poser des questions, des ateliers, des universitaires qui tiennent des débats. Dans la section Sexplorium, un jeune couple enlacé regarde un vidéo clip sur des accessoires sexuels. Dans la zone Fantasy and Fetish, deux jeunes femmes ricanent en s'exerçant sur un appareil qui enregistre la force des fessées qu'elles distribuent.
Le concept ne fait cependant pas taire tous les sceptiques et il a un coût pour les visiteurs : il en coûte 18 euros avant 17h00 et 22 euros jusqu'à minuit, sept jours par semaine. L'ouverture de centres identiques est envisagée à Paris, en Allemagne et aux Etats-Unis.
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