Seine-Saint-Denis, 12 avril
Rien n’est assez beau pour un bébé. Aujourd’hui dès la naissance, ils portent un bijou de technologie à la cheville. Un bracelet électronique testé pour la première fois à l'hôpital intercommunal du Raincy-Montfermeil (Seine-Saint-Denis), première maternité en France à tester ce dispositif anti-enlèvement.
Cette maternité de banlieue parisienne qui a connu plusieurs enlèvements de nourrissons ces cinq dernières années propose le bracelet aux parents des nouveau-nés, qui peuvent l'accepter ou le refuser. Pour cette maternité où 2.100 femmes ont accouché en 2006, il s'agit de prévenir les rapts, les échanges de bébés et les sorties non-programmées d'enfants en raison de mésententes familiales, en gardant ouvert l'hôpital.
Toute dégradation du bracelet, ou sortie du nourrisson d'un périmètre défini, active une alarme dans le poste de contrôle du personnel, qui peut instantanément localiser le bébé. Il devrait bientôt être relié également au poste de sécurité central de l'hôpital. Gris clair, le bracelet porte un boîtier contenant une puce et un émetteur d'ondes radio (fréquence de 862 MHz) qui envoie chaque seconde un signal à des capteurs répartis dans tout l'établissement. Il est activé au départ par les auxiliaires de puériculture qui rentrent, depuis le poste de contrôle, les données personnelles de l'enfant (nom, prénom, date de naissance, numéro du boîtier). La puissance de l'émetteur est de 0,01 milliwatts, soit 2.000 fois moins qu'un téléphone portable" rend ce bracelet paraît il totalement inoffensif. En plastique et silicone, étanche et hypoallergénique, le bracelet, d'un poids de 12 grammes, est fixé en permanence au bébé.
Déjà utilisé en Angleterre, Irlande, Australie, Malaisie notamment, le système intéresse plusieurs maternités en France, dont le Centre hospitalier du Havre et l'hôpital de Hautepierre à Strasbourg qui le testera très prochainement. Le bracelet électronique, représente pour un hôpital un investissement de 60.000 euros. Le coût de revient du bracelet, amorti sur 5 ans, est de 8 euros (4 euros hors amortissement). Il est entièrement pris en charge par l'hôpital.
Rien n’est assez beau pour un bébé. Aujourd’hui dès la naissance, ils portent un bijou de technologie à la cheville. Un bracelet électronique testé pour la première fois à l'hôpital intercommunal du Raincy-Montfermeil (Seine-Saint-Denis), première maternité en France à tester ce dispositif anti-enlèvement.
Cette maternité de banlieue parisienne qui a connu plusieurs enlèvements de nourrissons ces cinq dernières années propose le bracelet aux parents des nouveau-nés, qui peuvent l'accepter ou le refuser. Pour cette maternité où 2.100 femmes ont accouché en 2006, il s'agit de prévenir les rapts, les échanges de bébés et les sorties non-programmées d'enfants en raison de mésententes familiales, en gardant ouvert l'hôpital.
Toute dégradation du bracelet, ou sortie du nourrisson d'un périmètre défini, active une alarme dans le poste de contrôle du personnel, qui peut instantanément localiser le bébé. Il devrait bientôt être relié également au poste de sécurité central de l'hôpital. Gris clair, le bracelet porte un boîtier contenant une puce et un émetteur d'ondes radio (fréquence de 862 MHz) qui envoie chaque seconde un signal à des capteurs répartis dans tout l'établissement. Il est activé au départ par les auxiliaires de puériculture qui rentrent, depuis le poste de contrôle, les données personnelles de l'enfant (nom, prénom, date de naissance, numéro du boîtier). La puissance de l'émetteur est de 0,01 milliwatts, soit 2.000 fois moins qu'un téléphone portable" rend ce bracelet paraît il totalement inoffensif. En plastique et silicone, étanche et hypoallergénique, le bracelet, d'un poids de 12 grammes, est fixé en permanence au bébé.
Déjà utilisé en Angleterre, Irlande, Australie, Malaisie notamment, le système intéresse plusieurs maternités en France, dont le Centre hospitalier du Havre et l'hôpital de Hautepierre à Strasbourg qui le testera très prochainement. Le bracelet électronique, représente pour un hôpital un investissement de 60.000 euros. Le coût de revient du bracelet, amorti sur 5 ans, est de 8 euros (4 euros hors amortissement). Il est entièrement pris en charge par l'hôpital.
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