Washington, 1 avril
Lire un journal papier : une attitude de plus en plus rare à cause de la version numérique des journaux traditionnels. Le paysage médiatique de la prochaine génération aura l'image pour langage dominant et le numérique pour oxygène. Cette prédiction d’expert s’appuie sur les tendances du moment. Des réseaux numériques à large bande qui se répandent, comme les réseaux mobiles.
Evolution déjà engagée, podcasts ou messages vidéo, sites d'informations, blogs et livres seront accessibles sans fil, en haut débit et à l'échelle planétaire via des téléphones-téléviseurs-baladeurs ou sur écran. Déjà les nouvelles habitudes de lectorat montrent que 43% des Américains se tournent vers l'internet pour leurs nouvelles tandis que 17% lisent d'abord un journal national, selon une étude récente du centre de recherche Pew.
Les terminaux miniatures vont se multiplier. L'évolution technologique laisse déjà entrevoir que "tout peut converger sur un seul outil qui fait téléphone, caméra vidéo, GPS, lecteur de musique et communicateur personnel.
La vidéo va devenir le langage dominant, téléchargeable sur demande via l'internet et les réseaux mobiles. Dans ce contexte, l'avenir des journaux imprimés est incertain. En 2006, les rédactions américaines ont supprimé 18.000 emplois.
A la dernière conférence "We media" à Miami, certains experts ont prédit le développement d'un portefeuille électronique flexible et pliable, léger et peu épais, qui servirait à lire les journaux.
Avec cette fragmentation des sources d'informations et de l'audience, l'économie des médias va être davantage ébranlée. Les ressources publicitaires de l'internet sont loin de remplacer celle de la presse traditionnelle.
Lire un journal papier : une attitude de plus en plus rare à cause de la version numérique des journaux traditionnels. Le paysage médiatique de la prochaine génération aura l'image pour langage dominant et le numérique pour oxygène. Cette prédiction d’expert s’appuie sur les tendances du moment. Des réseaux numériques à large bande qui se répandent, comme les réseaux mobiles.
Evolution déjà engagée, podcasts ou messages vidéo, sites d'informations, blogs et livres seront accessibles sans fil, en haut débit et à l'échelle planétaire via des téléphones-téléviseurs-baladeurs ou sur écran. Déjà les nouvelles habitudes de lectorat montrent que 43% des Américains se tournent vers l'internet pour leurs nouvelles tandis que 17% lisent d'abord un journal national, selon une étude récente du centre de recherche Pew.
Les terminaux miniatures vont se multiplier. L'évolution technologique laisse déjà entrevoir que "tout peut converger sur un seul outil qui fait téléphone, caméra vidéo, GPS, lecteur de musique et communicateur personnel.
La vidéo va devenir le langage dominant, téléchargeable sur demande via l'internet et les réseaux mobiles. Dans ce contexte, l'avenir des journaux imprimés est incertain. En 2006, les rédactions américaines ont supprimé 18.000 emplois.
A la dernière conférence "We media" à Miami, certains experts ont prédit le développement d'un portefeuille électronique flexible et pliable, léger et peu épais, qui servirait à lire les journaux.
Avec cette fragmentation des sources d'informations et de l'audience, l'économie des médias va être davantage ébranlée. Les ressources publicitaires de l'internet sont loin de remplacer celle de la presse traditionnelle.
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