Bruxelles, le 31 janvier
Les Belges sont particulièrement coquins en voiture, donc pas très concentrés au volant. Quelle mouche a donc piqué le constructeur Opel ? Il a mené un sondage via son site Internet en Belgique sur le désir en voiture.
Et les résultats sont au rendez-vous : 69 % des personnes interrogées ont répondu avoir déjà eu des relations sexuelles en voiture. Un chiffre à mettre en relief avec les 68 % obtenus lors de la précédente enquête du genre réalisée par une compagnie britannique d’assurance qui cherchait à comprendre les causes des accidents au volant.
Car les Belges sont chauds au volant… 21% avouent qu’ils ont eu des rapports en conduisant (un pourcentage deux fois plus élevé que la moyenne européenne).
Cela dit les obstacles au rapport sexuel en voiture sont nombreux et reconnus : levier de vitesse, systèmes de verrouillage des ceintures de sécurité, quand ce n’est pas le klaxon qui s’active parfois à cause d’un faux mouvement.
Autre sport national : la drague au volant. 33% des hommes distribuent régulièrement des clins d’œil ou des sourires. Dans 16% des cas, cette méthode est à l’origine d’un vrai rendez vous.
Pas romantique pour deux sous, les Belges (40 %) avouent que les parking qui longent les autoroutes sont l’endroit le plus apprécié pour des relations sexuelles en voiture. Les chemins de campagne (38 %) et les bois (35 %) sont également très prisés.
Cela dit gare aux interruptions brusques de rapport : 53% des personnes sondées affirment avoir déjà été pris sur le fait. 11% ont été rappelés à l’ordre par la police, 7% ont dû cesser leurs activités en raison de la présence de piétons inopportuns. Aimer sa voiture ou aimer dans sa voiture…
Les Belges sont particulièrement coquins en voiture, donc pas très concentrés au volant. Quelle mouche a donc piqué le constructeur Opel ? Il a mené un sondage via son site Internet en Belgique sur le désir en voiture.
Et les résultats sont au rendez-vous : 69 % des personnes interrogées ont répondu avoir déjà eu des relations sexuelles en voiture. Un chiffre à mettre en relief avec les 68 % obtenus lors de la précédente enquête du genre réalisée par une compagnie britannique d’assurance qui cherchait à comprendre les causes des accidents au volant.
Car les Belges sont chauds au volant… 21% avouent qu’ils ont eu des rapports en conduisant (un pourcentage deux fois plus élevé que la moyenne européenne).
Cela dit les obstacles au rapport sexuel en voiture sont nombreux et reconnus : levier de vitesse, systèmes de verrouillage des ceintures de sécurité, quand ce n’est pas le klaxon qui s’active parfois à cause d’un faux mouvement.
Autre sport national : la drague au volant. 33% des hommes distribuent régulièrement des clins d’œil ou des sourires. Dans 16% des cas, cette méthode est à l’origine d’un vrai rendez vous.
Pas romantique pour deux sous, les Belges (40 %) avouent que les parking qui longent les autoroutes sont l’endroit le plus apprécié pour des relations sexuelles en voiture. Les chemins de campagne (38 %) et les bois (35 %) sont également très prisés.
Cela dit gare aux interruptions brusques de rapport : 53% des personnes sondées affirment avoir déjà été pris sur le fait. 11% ont été rappelés à l’ordre par la police, 7% ont dû cesser leurs activités en raison de la présence de piétons inopportuns. Aimer sa voiture ou aimer dans sa voiture…
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