L'Etat de Californie (ouest des Etats-Unis) va examiner une proposition de loi qui propose de transformer en délit, prison à la clé, le fait de donner la fessée à de jeunes enfants.
Le texte, préparé par une députée de la région de San Francisco, la démocrate Sally Lieber, veut punir les parents qui donneraient la fessée aux enfants de moins de trois ans. Ils deviendraient passibles des tribunaux et risqueraient un an de prison ou 1.000 dollars d'amende.
"Où s'arrêtera-t-on?", a ainsi demandé le député républicain Chuck DeVore.
"Quand allons-nous devoir voter une loi qui rendra obligatoire pour chaque
parent de lire un livre à son enfant pendant 30 minutes minimum chaque soir?
De son côté, le gouverneur Arnold Schwarzenegger, qui aura le pouvoir de mettre son veto à la loi si elle est votée, est resté vague sur ses intentions.
Dans un entretien au San Jose Mercury News, qui a révélé l'affaire cette semaine, il s'est souvenu avoir été "frappé à tout propos" lors de son enfance en Autriche et n'avoir pas trouvé cela injuste.
Schwarzi dit aussi comprendre que l'on souhaite "se débarrasser du comportement physique brutal de certains parents" tout en affirmant que lui et sa femme Maria Shriver n'avaient "jamais" battu leurs quatre enfants.
Le texte, préparé par une députée de la région de San Francisco, la démocrate Sally Lieber, veut punir les parents qui donneraient la fessée aux enfants de moins de trois ans. Ils deviendraient passibles des tribunaux et risqueraient un an de prison ou 1.000 dollars d'amende.
"Où s'arrêtera-t-on?", a ainsi demandé le député républicain Chuck DeVore.
"Quand allons-nous devoir voter une loi qui rendra obligatoire pour chaque
parent de lire un livre à son enfant pendant 30 minutes minimum chaque soir?
De son côté, le gouverneur Arnold Schwarzenegger, qui aura le pouvoir de mettre son veto à la loi si elle est votée, est resté vague sur ses intentions.
Dans un entretien au San Jose Mercury News, qui a révélé l'affaire cette semaine, il s'est souvenu avoir été "frappé à tout propos" lors de son enfance en Autriche et n'avoir pas trouvé cela injuste.
Schwarzi dit aussi comprendre que l'on souhaite "se débarrasser du comportement physique brutal de certains parents" tout en affirmant que lui et sa femme Maria Shriver n'avaient "jamais" battu leurs quatre enfants.
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